« Une perle rare » : les médias vietnamiens parlent de Dimash Qudaibergen
En prévision du prochain concert de Dimash Qudaibergen au 8WONDER Winter 2025, l’un des plus grands festivals de musique du Vietnam, qui se tiendra à Hanoï le 6 décembre 2025, de nombreux médias vietnamiens ont publié des articles sur l’artiste kazakh.
L’un des principaux journaux vietnamiens, Saigon Giai Phong, a annoncé le festival avec la description suivante :
« Dimash Qudaibergen est un chanteur de renommée mondiale originaire du Kazakhstan, qui se distingue par son large registre vocal couvrant six octaves et cinq demi-tons. Il a émerveillé le public du monde entier grâce à son extraordinaire capacité à passer sans effort d’une voix de baryton profonde et puissante, qui rappelle le romantisme des ballades russes, à des notes aiguës rares et vertigineuses qui semblent défier les limites physiques.
Des millions de fans admirent Dimash non seulement pour sa technique vocale exceptionnelle, mais aussi pour son talent à raconter des histoires à travers la musique, touchant les cœurs au-delà des frontières linguistiques et culturelles. »
Le grand quotidien Tuoi Tre qualifie Dimash de « joyau rare », expliquant :
« Précieux » — en raison de son talent ; « rare » — parce qu’il ne suit pas les tendances.
À une époque où la musique est dominée par les algorithmes, les formules et les apparences, Dimash suit sa propre voie, mélangeant musique classique, pop, folk et opéra. Il chante dans plus de 13 langues, de l’anglais, le russe, le français et le chinois à l’arabe et au kazakh. Chaque langue est pour lui une façon de montrer son respect pour la culture et le public locaux.
Ce qui rend Dimash vraiment spécial, c’est son intégrité artistique. Il refuse de signer des contrats à long terme avec les grandes maisons de disques afin de préserver sa liberté créative.
Pas de scandales, pas d’artifices — Dimash ne sort que la musique qu’il estime digne d’intérêt.
Dans une industrie où la célébrité arrive souvent rapidement et s’estompe tout aussi vite, Dimash préfère avancer lentement, régulièrement et avec détermination. Il est comme un joaillier qui polit chaque note jusqu’à ce qu’elle brille de mille feux.
Cette qualité rare, la loyauté envers l’art pur, sans se laisser influencer par les goûts du public, est quelque chose que seuls quelques artistes contemporains ont su préserver.
Dimash est la preuve que la vraie musique n’a pas besoin de fanfare, seulement d’un cœur sincère, d’une oreille fine et d’une maîtrise impeccable.
Il convient de noter que les journalistes étrangers ne se contentent pas de rappeler avec admiration la première représentation de Dimash au Vietnam à l’Opéra Ho Guom en juillet dernier, en proposant à leurs lecteurs des articles biographiques sur l’artiste, mais qu’ils manifestent également un vif intérêt pour les articles analytiques sur son travail, en étudiant les écrits des critiques musicaux.
Par exemple, dans l’article « Dimash — La voix du ciel » publié par le grand site d’information vietnamien VnExpress, l’un des médias en ligne les plus lus du pays, le journaliste cite The Astana Times :
« Malgré son jeune âge, la musique de Dimash Qudaibergen possède une profondeur qui exige des auditeurs qu’ils s’y plongent complètement. Certaines de ses chansons expriment ses réflexions sur le monde et sur les tragédies modernes telles que la guerre, la famine et les catastrophes naturelles. »
La publication souligne que l’humanité a besoin d’artistes comme Dimash, capables de transmettre naturellement des idées profondes :
« Dimash Qudaibergen n’écrase pas son public et n’exige pas d’admiration. Au contraire, il incarne la lumière qui réside en chacun de nous, quelque chose que nous devons chérir et partager avec les autres. »
Source ©Dimashnews.com
